60. Clauses abusives…

Identifier une clause abusive est pas toujours facile, mais il y a des cas où un seul versement à la maison ou contemplait une augmentation de l’intérêt peut être le déclencheur de savoir que d’être dans une situation de mauvais traitements infligés par la banque.

Les clauses abusives les plus courantes sont la collecte irrégulière de commissions ou l’intérêt excessif et la compensation injustifiée des soldes et sont accordés, avant tout, aux prêts aux particuliers, aux particuliers et aux prêts hypothécaires. Ils sont également produits sur des cartes de crédit, où une pratique abusive peut générer des intérêts en utilisant ce moyen habituel de paiement.

Une clause abusive est une disposition contractuelle non négociée individuellement, dont l’incorporation est imposée par une seule des parties, dans ce cas par l’établissement de crédit.

Les clauses abusives les plus courantes dans les hypothèques sont:
Ground clause. C’est l’une des dispositions qui comprennent habituellement certaines hypothèques, en particulier celles qui sont souscrites à des intérêts variables. Il est basé sur le fait que si le taux d’intérêt (lié à euríbor) augmente, le client aura un impact sur sa part. Si elle diminue, elle sera également reflétée, mais jusqu’à un minimum fixé par la banque. Parfois, il est difficile de le détecter parce que la clause du contrat est camouflée, par exemple, comme un intérêt minimum.
Intérêt de la manière la plus rapide. Certaines banques peuvent imposer des intérêts abusifs et abusifs contraire au code des bonnes pratiques bancaires. Il peut être détecté à travers des sections à l’échéance anticipée du prêt, ce qui exprime l’intérêt que l’entité facturerait en cas d’abandon du financement, mais de façon disproportionnée l’intérêt actuel. Pour éviter cela, vous devez examiner attentivement le contrat afin de vérifier s’il existe une disposition qui invite à payer ces intérêts.

Dépenses unilatérales. Cette clause est plus difficile à détecter par les utilisateurs, car elle indique qu’ils seront ceux qui supporteront les dépenses, même celles qui devraient être assumées par la banque, et est contraire à la Loi sur la protection du consommateur.

Source: Esine inmobiliaria.